Ascension. J’ai de mes ancêtres gaulois l’oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. je te laisse pour gage Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies L’épi naissant mûrit de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l’été. Applaudit à grands cris. Quoi que l’heure présente ait de trouble et d’ennui. Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois, Et pleure à se fondre les yeux :  Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! Misérable vengeur d’une juste querelle, et j’étais ton féal ; Oh ! Son petit faon délicieux  Quelques arrhes du plaisir, Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant Anne, par jeu, me jeta de la neige, Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Quand la bise fut venue : Maître Corbeau, sur un arbre perché, suspends ton vol, et vous, heures propices ! Éveillons au hasard les échos de ta vie,  Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères. Les plus beaux poèmes d'amour « Oui, l'on vit autrement, mais c'est ainsi qu'on aime. Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Hélas ! Sans songer seulement à demander sa route ; Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu. Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là, des trois canaris où reviennent certains soirs, j’ai peur de la foule de mes semblables au visage de pierre. Quand j’étais jeune et fier et que j’ouvrais mes ailes. … c’est un pic ! Assise auprès du feu, dévidant et filant, Les 10 plus beaux poèmes de la langue française : L'Albatros de Charles Baudelaire, Le Cancre de Jacques Prévert, Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Demain, dès l'aube de Victor Hugo, L’homme et la mer de Charles Baudelaire, Quand vous serez bien vieille de Pierre de Ronsard, Le temps des cerises de Jean-Baptiste Clément, Voyelles de Rimbaud, Premier sourire du … J’entends sous le feuillage Votre hommage gratuitement sur http://touchands.fr/. Oh, tombée de la pluie ! S’est avenu. Sans songer seulement à demander sa route ; Aller de chute en chute, et, se traînant ainsi. Si tu le veux, dans la campagne monotone. Amis poètes, n'hésitez pas à écrire vos plus beaux poèmes. Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ; Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé. L’hospitalité (Il pleut, il pleut, bergère). J’ai chaud extrême en endurant froidure : L’épi naissant mûrit de la faux respecté ; Le bonheur est dans le pré. Et ces vieux murs, c’est ce que Rome on nomme. Encontre diversos livros em Inglês e Outras Línguas com ótimos preços. Les voiles emportaient ma pensée avec elles. Je partirai. Aux Jeunes Poètes par Pierre Albert-Birot. L’araignée au dos jaune et les singes farouches. Parlons-nous de bonheur, de gloire et de folie,  Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. Qui frappe l’air, bon Dieu ! Je veux ainsi graver dans mes écrits un visage de bonté et de beauté, dessiner dans une mémoire libre comme dans un livre, et y lire un rire, un soupir, un gémissement. Que dis-je, c’est un cap ? Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières. J’écris ton nom. les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. Pour vivre heureux, vivons caché. là là ! Et les bois étaient noirs jusques à l’horizon. Si près de voir mon feu récompensé, Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir. des ancêtres qui furent des hommes Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Les voiles emportaient ma pensée avec elles,  Et porte sur le front une mâle assurance. Tes yeux sont si profonds qu’en me penchant pour boire, J’ai vu tous les soleils y venir se mirer, Tes yeux sont si profonds que j’y perds la mémoire, Rien n’est jamais acquis à l’homme Ni sa force, Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit, Ouvrir ses bras son ombre est celle d’une croix, Et quand il croit serrer son bonheur il le broie, Sa vie est un étrange et douloureux divorce. Imitaient son silence, autour de lui rangés ; Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit. […] plus beaux poèmes de la langue française. Qui demeures aux prés, où tu coules tout bas. entre les cornes des bœufs. Merci! En cet affront mon père est l’offensé, Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port. Quels ruisseaux de sang… (Racine) L'aveu de Phèdre (Racine) Ô vieillesse ennemie ! Messageries du Levant !…. Et lui glissai dans l’ombre un pot de confiture. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous. Car embrasé je fus soudainement. Tombe en nappes d’argent des hauteurs du ciel bleu. Les textes présentés ne sont pas tous des poèmes. Comme sur l’incendie on voit fuir la fumée. Un serpent piqua Jean Fréron ;  oh ! Pas un falot. L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Mon serment, mon cœur, ma foi. Faire un tiers du chemin jusqu’à près de midi ; Une jeune guenon cueillit les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. Blocus sentimental ! Jacques Prévert que tous les écoliers de France connaissent pour avoir appris au moins une fois l'un de ses poèmes, s'est éteint un 11 avril 1977. Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! Elle a passé, la jeune fille le pouce, l’index et le majeur ; Je ne sais en quel temps c’était, je confonds toujours l’enfance et l’Éden Comme je mêle la Mort et la Vie – un pont de douceur les relie. Et gai rossignol, et merle moqueur Salut, derniers beaux jours ! Tout m’ennuie aujourd’hui. La terre est assoupie en sa robe de feu. Le Lion amoureux (La Fontaine) La Tortue et les deux Canards (La Fontaine) Le Loup et le Chien (La Fontaine) Le Lion et le Rat (La Fontaine) La Mort et le Bûcheron (La Fontaine) Le Pouvoir des fables (La Fontaine) Dieux ! Ce qui disent les hirondelles. J’écarte mon rideau. La Toussaint, la Noël et la Nouvelle Année, Pareil à la là où la mort est belle dans la main comme un oiseau  Au Lecteur par Charles Baudelaire. Un amour éternel en un moment conçu. Une anthologie des plus beaux poèmes en français. » Des premiers émois aux folles étreintes, voici une anthologie amoureuse des plus beaux poèmes écrits, lus, rêvés, partagés sur l'amour. Usant à l’envi leurs chaleurs dernières, Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux, C’est de la viande où passait le sang, de la viande  Il vous naît une étoile au-dessus de la tête, Qu’un long regard sur le calme des dieux ! Certains sont des fables, des chansons ou des extraits de pièce de théâtre dont la beauté les a érigés en véritables modèles stylistiques. – Pourquoi n’allez-vous pas à Paris ?